Dans le cadre de son projet "Art Less Pollution", l'artiste compose ainsi un tag en négatif, par soustraction et non par addition de matière. Son masque facial n'est pas ici destiné à le protéger des émanations de peinture mais plutôt des gaz d'échappement.

Parfois considéré comme une nuisance, le graffiti apparaît alors comme un acte positif, visant à s'approprier la ville en la revalorisant et non en la dégradant, nous invitant aussi à réfléchir sur les méfaits de la pollution urbaine. 

Découvrez un extrait de l'émission:

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Pour en savoir plus sur le travail d'Alexandre Orion, visitez son site internet.

Dans un genre différent mais à découvrir également, le "Tag environnemental". Avec “Mossenger”, l’artiste Anna Garforth utilise en effet la mousse pour composer son message sur un mur londonien et propose ainsi une alternative écologique et poétique aux tags peints dans nos rues. Lisez la suite.

Source: Ossario